• L'emploi et la place font le contenu pédagogique de la sociologie.

    J'ai rencontré le chef d'orchestre, le type à son bureau qui récite ses notes, celui qui passe dans les rangées et fait son cinéma ; j'ai vu les grands chefs comme Bourdieu, Passeron, Verret, Pessin, Becker, autant de styles différents qui font la sociologie. Et j'ai profité de cette vision – un peu anarchique – de la sociologie pour avoir le culot de prétendre faire la mienne. J'ai pris la liberté d'écrire des livres à la fin sur ce qui me plaisait, que ce soit la sociologie des sciences à travers Ader l'aérien, ou que ce soit l'éloge de l'observation, qui n'était pas une méthode bien connue et diffusée en France, dans Le goût de l'observation.

    Mais vous verrez tout ça dans le livre, remarquable par sa présentation, le style et l'imprimerie, Sur le terrain aux Presses universitaires de Grenoble, qui retrace 50 ans d'observation de la sociologie en France et aux États-Unis : c'est celui que je vous recommande.

    Tout ça a été permis parce que ce sont mes camarades, les jeunes de ma génération, qui ont fait le sale boulot, qui ont tué et massacré des villages entiers. Donc mes copains m'ont supplée, et leur sacrifice a permis tous ces livres. Moi, j'aurais dû partir à l'étranger et ne jamais en revenir.

    Voilà l'histoire d'un livre, l'histoire d'un épisode de la sociologie, et l'histoire d'une époque. Vous ne la vivrez pas, mais vous êtes entrain d'en vivre une autre encore plus surprenante. Je ne sais pas la définir, je ne vois pas bien clair, mais ouvrez les yeux, écoutez ça vaut le coup ! Surtout à la télé où ils semblent vivre sur une autre planète.

    Enfin, je souhaite aux jeunes beaucoup de chance, et de saisir les opportunités de s'évader dès qu'ils le pourront. Et quand vous jugez vos profs, n'oubliez pas que c'est l'emploi, la position, le lieu, la ville, qui définissent la sociologie en particulier : divisez en fractions incomparables et souvent incompatibles entre elles. C'est du cinéma, mais si c'est marrant il faut aller suivre les cours et faire semblant de dire « ok, ok prof, je suis d'accord avec vous ».

    Prochain article : une forme d'anarchie nouvelle, originale, où l'on voit les hommes politiques et leurs représentants dans les médias ne pas savoir quoi dire sur le Hamas, Gaza, l'Ukraine, changeant d'opinion et d'orientation - bref, un désordre politique que personne ne maîtrise, n'avait envisagé, et qui touche surtout la France et tout l'Occident ! La politique internationale en ce moment, c'est un roman noir, les trous de mémoire et les rebondissements, le déversement des égos des journalistes et des politiques trop pleins. Et apparemment, c'est pas fini. En tout cas, je ne rate pas les informations à la télé qui me permettent de rire et de sourire. 

    27/04/2024


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  • 09/02/2024

     

    Révolution ! On parle enfin de l'euthanasie. Nous qui la préconisons depuis longtemps, nous sommes ébahis et enthousiastes de ce revirement. Je vais donc donner d'autres informations sur ma famille, qui la pratique régulièrement, malgré l'interdiction de l’État. Les temps changent et c'est heureux. L'euthanasie est peu à peu acceptée et nous y avons œuvré. Je trouve, maintenant, la société brutalement raisonnable.

     

    A un certain moment, il faut échapper à la médecine qui dévore, et trouver la seule solution respectable par tous : le départ volontaire. Je n'ai été entouré que de ces exemples familiaux depuis mon enfance. Mon oncle, mon père, ma mère sont partis comme ça. Et je ferai de même.

    Mon oncle, le peintre photographe de la guerre d'Espagne Manuel Moros, dont je vous recommande vivement la lecture de La Retirada, franco-colombien, est parti de l'hôpital sans autorisation quand il a eu une crise cardiaque dans la maison de vacances de mes parents à Banyuls, il s'est échappé la nuit de l'hôpital et mourra d'une nouvelle crise cardiaque sur la route.

    Mon père, vétérinaire, n'a pas voulu être opéré d'une hernie à l'hôpital de Toulouse, et le chirurgien est venu l'opérer à la maison. Mais la stérilisation, ou l'opération, s'étant mal passée, il n'a pas pu être réanimé et mis sous appareil respiratoire léger. Il nous avait demandé auparavant de le fermer s'il y avait le moindre problème. Et c'est avec ma sœur que nous l'avons éteint.

    Trois ou quatre ans après, ma mère, qui avait voulu resté dans sa grande maison vide, est tombée, ou s'est jetée du haut de l'escalier, retrouvée par la voisine le lendemain matin.

     

    Donc nous sommes d'une famille qui désire la décision de départ qui ne revient pas à l’État ou à la décision d'étrangers. Et quand on a beaucoup de chance, on peut le décider : « maintenant ça suffit, on arrête » ! Et pas besoin de dépenser des millions pour maintenir en vie des momies et des apparences tout-à-fait légères de vie artificielle. La génération des jeunes sera obligée de prendre en compte ce combat si elle veut délivrer les comptes publics d'une source terrible de dégagement et d'appauvrissement.

     

    C'est pour ça que moi aussi, je partirai un soir en ayant trouvé le bon moyen, pour dire au revoir et merci.

     

    Je répète que l'euthanasie, dans notre société, devrait respecter les gens de l'Antiquité qui l'ont pratiquée. Nos ancêtres gréco-romains qui l'ont exercé librement, et nous qui ne sommes pas assez informés dessus comme phénomène naturel (comme les animaux qui s'isolent du troupeau) et ça mérite un combat entretenu. Reprenons nos livres d'histoire et relisons les œuvres et la vie de Sénèque et Socrate. Moi qui suis parti au lycée à Toulouse à 10 ans en sixième, on m'a tout de suite parlé de Sénèque qui s'est fait ouvrir les veines par son esclave. Et deux ans après, en grec, Socrate qui boit la ciguë préparée par l'esclave. Ces deux exemples célèbres nous ont élevé dans le respect de la décision personnelle, de la forme ou du moment du départ inévitable. La médecine n'a rien à voir là-dedans, et doit soigner et guérir, et ne pas se mêler de notre façon de partir. L’État à tous les droits sur nos conduites respectives en communauté, mais celle-là ne le regarde pas, il n'a pas à interféré. Et nous sommes contents, si pour la première fois, il respecte cette décision comme naturelle et normale, et que ces imbéciles de journalistes et de metteurs en scène ne viennent pas faire les malins en parlant de ça comme s'ils avaient des idées personnelles.

     

    Unissons-nous, défendons nos droits, et pratiquons notre décision en toute liberté et en toute indépendance.

     

    C'est une liberté de citoyen et d'humain. Je sais que Becker, Freidson l'ont demandé et l'ont obtenu. Ils sont partis dans la tranquillité. Ce droit universel doit être mis dans la loi en France. Et tout mon blog en est d'ailleurs imprégné.

     

    Et voici un signe de la jeunesse, poème de Alexandre Verheyden :

     

    « La liberté »

    Je suis là mais on ne me voit pas sous l'horizon Lumineux du ciel silencieux.

    Je suis là sous les points d coton blanc,

    Les feuilles qui virevoltent, le soleil chauffé au rouge

    J'enchante les sourires des gens dans la brise pure Et fraîche des après-midi d'hiver. Je suis une source de bien qui donne de l'espoir, De l'amour et un cœur à ceux qui n'en ont pas.

    Je fais sourire.

    Je fais rire.

    Je fais danser et chanter.

    Voilà pourquoi m'a donné un nom...

    Liberté.


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  • 03/02/2024

    Le choix de fin de vie est aujourd'hui toléré. Deux ans après « Choix vital » nous avons gagné ce combat. Une personne fatiguée, malade, infirme, peut demander à mettre fin à son existence. Il n'y a plus ce genre de pestiférés, d'exclusion de la société, de ces gens qui décideraient de partir, dans un état de santé bon mais précaire, et souvent, avec des petits ennuis corporels ou mentaux.

    Je suis content d'avoir participé à ce combat qui me semble être tout-à-fait légitime. Et si mon texte a pu y contribuer, je serais heureux. Car je pense, comme dans toute ma famille – mon oncle Moros, photographe et peinture de la guerre d'Espagne, s'est échappé de l'hôpital après une menace cardiaque, mort sur la route en rentrant chez lui ; mon père a décidé de se faire opérer une hernie chez lui et non à l'hôpital, et qu'ayant eu des complications, il nous a demandé de le débrancher ; quant à ma mère, qui a voulu restée seule dans sa vieille maison, a été retrouvée morte en bas des escaliers par la voisine.

    Donc on peut se passer de la pharmacie, de la médecine, de l'hôpital, quand arrivé à un certain âge on décide là, de laisser passer la caravane, surtout si notre existence à été riche en idées, positions, et si notre blog de plusieurs centaines de pages a pu être lues par des centaines de personnes, et apprécié il me semble.

    Une fois le boulot terminé, on peut dire « bye-bye », « bonne route », et sachez vous libérer des contraintes, des puissants, des riches et des forts. La nouvelle législation a justifié mon engagement. Et mon blog, sur le choix vital, a été lu par des milliers de personnes. J'en suis fier et heureux.

    Bonne chance, bonne route.


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  • 17/02/2024  

          Les malades des urgences, pour qu'il soit épuisé après un certain succès, doit bien représenter un phénomène étrange et différent de l'Hôpital en urgence qui, lui aussi, a eu son succès sans être réédité. J'en vois la raison dans le fait que j'ai touché un point délicat : la rencontre des classes sociales, la police ou autre institution présente aux urgences, et le sous-entendu qu'il implique de pathologies, de problèmes sociaux, de familles éclatées, de disputes de voisinage, et d'autres événements banals et courants mais qui se multiplient aujourd'hui puisque, selon les informations télé que j'ai, tout le monde a son revolver, tout le monde se tire dessus, personne n'obéit... tout par à vau-l'eau.

          Si je comprends bien, et si j'interprète les faits divers qui occupent l'essentiel des informations, pour moi c'est évidemment un choc, un événement, un changement de monde. C'était donc ça le succès des malades aux urgences. Je n'avais pas soupçonné l'ampleur des révolutions internes qui se préparaient dans notre société, dans les familles, dans les écoles, dans la rue, et dans les réunions publiques. On vient de passer un virage et je suis curieux d'en voir la suite car je ne l'avais pas anticipé.

          Le succès d'Ader, lui aussi réédité, me surprend d'autant plus que je n'en vois pas les raisons immédiates (curiosité, goût sciences). Et je suis heureux pour mes parents, ma grand-mère, qui est la nièce de Clément Ader et qui s'appelait Germaine Ader, qui m'a souvent parlé de lui comme d'un homme qui, politiquement et scientifiquement, anticipait les situations complexes. Je suis content que l'éditrice, Madame Delaporte, ait décidé de ressortir ce livre. Je la remercie au nom de la famille Ader.

          Une idée pour comprendre : j'ai touché les marginaux, les outsiders, ceux qui n'ont pas fait une carrière, qui n'avait pas prévu d'écrire, ceux qui avaient fait d'autres études que littéraires ou juridiques. C'est ainsi que j'interprète aussi ma propre trajectoire : pas prévu d'être juriste, d'être économiste ou sociologue, d'être historien, mais j'étais parti pour faire une carrière scientifique, maths et physiques, au Lycée Pierre de Fermat à Toulouse. En visant les classes préparatoires à ces grandes Écoles, j'ai compris, au bout d'un an ou deux, que je n'étais pas à la hauteur. Droit et Lettres comme études supérieures ont alors fait le remplacement. De toute façon, il fallait faire durer au maximum les études, jusqu'à 25-26 ans, pour ne pas partir tout de suite en Algérie, tuer des enfants et torturer des adultes. Tout ce que me racontaient mes camarades de mon village – Cadours – quand ils rentraient à 22 ans complètement meurtris par le sang qu'ils avaient sur les mains. Tout ça est du passé, mais c'est le miens et il pèse encore dans ma tête.

          Toute ma vie en a été marquée puis qu’avec ma femme, devenue coopérante à l'Armistice et à la paix en Algérie, nous avons enseigné là-bas avant de décider d'adopter un petit arabe orphelin puis d'avoir des enfants naturels. C'est pourquoi nous avons demandé aux services sociaux algériens un orphelin. Ils nous l'ont offert tout de suite à condition qu'il ne sorte pas d'Algérie puisqu'il était né musulman. Évidemment, ma femme et moi avons refusé d'adopter un enfant pour lui dire un jour « ciao, on te laisse là ».

          La solution a été de trouvée à Toulouse, dans les services sociaux, un orphelinat avec des enfants abandonnés pour en adopter un symboliquement. Effectivement, cette étrange cérémonie se passe dans une salle où tous les enfants sont parqués dans de petites boites, et des parents potentiels passent et font leur marché. Pour nous, un petit arabe très frisé, très beau, nous a plu. Et la directrice des services sociaux a sauté sur l'occasion, « celui-là, personne n'en veut, il est d'origine arabe ! ». D'ailleurs, ce garçons qu'on a appelé Y, ne voulait plus nous quitter le premier jour, alors qu'il fallait faire les papiers et revenir. Depuis, nous avons, avec lui, un fils admirable. Un fils aux nombreuses qualités et qui est notre fierté. Bien entendu, deux ans après, on a décidé d'avoir des enfants naturels. Et neuf mois après, une petite fille nous est née : elle s'appelle C. Pour ma femme et moi, ces deux enfants sont adorables, respectueux, aimants, et nous soutenant dans notre vieillesse.

          Donc à la fin, l'Algérie nous a donné l'occasion de comprendre la vie. La facilité avec lesquels les malheurs les plus atroces arrivent. Et une vision du monde tout-à-fait différente... Nous avons visité une partie de l'Afrique, de l'Europe, et passés en famille une année aux États-Unis. Toutes ces universités que j'ai traversé, et qui m'ont embauché, ont été des abris et des centres de réflexion qui m'ont profondément enrichis. Donc je peux fermer la porte et dire, sans le savoir, que j'ai quand même réussi quelque chose – y compris ces douze apôtres, qui sont ces douze livres que j'ai écrit, d'origine, de sujet, de forme et de contenu tout-à-fait différents et informels.

          Voilà un bref contre-rendu d'un vieil auteur qui s'est enfermé, là-haut, pendant vingt ans pour réfléchir, et qui vient de redescendre à la pleine obscurité d'Aix-en-Provence. 


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  • 07/04/2022

     

    Pourquoi notre société occidentale, et sa religion catholique principalement, ont interdit toute idée de suicide - le mot est connoté négativement, au lieu de dire « fin de vie voulue », « acceptation de mort recherchée », peut-être même « euthanasie » mais qui impliquerait un tiers.

     

    Pourquoi notre société a-t-elle refusé depuis l'Antiquité le respect du choix de chacun ? Il est inadmissible qu'un groupe dans la société, une de ses religions ou une organisation politique autoritaire interviennent dans ce qu'un individu a de plus intime, privée voire riche culturellement comme le fut le stoïcisme, le courage antique, pour aujourd'hui condamner, discriminer, faire honte aux descendants d'une personne qui aurait mis en pleine volonté, en pleine clarté d'esprit, qui aurait voulu donc mettre le point final à sa trajectoire. Moi, qui ai eu tellement de chance d'éviter le pire des crimes que mes camarades ont eu à pratiquer en Algérie ; moi qui ai eu tellement de chance de trouver une épouse admirable et d'avoir deux enfants très intéressants et différents, mais chacun de grande valeur dans leur ménage et éducation de leurs enfants ; moi qui ai eu tellement de chance de tomber sur un métier sur un métier agréable, curieux et intéressant – la sociologie – dont je ne savais pas avant 20 ans qu'elle existait puisque c'était une façon naturelle d'observer le milieu et que tout ça était très amusant jusqu'à 20 ans. Donc moi, avec toutes ces chances cumulées, je veux garder la dernière liberté qu'il reste quand on est très vieux et qu'on perd un peu la tête, la liberté de choisir le moment adéquat et la manière plus facile, la moins cruelle, de partir quand on veut.

     

    Je ne comprends rien à cette société, avec ses interdits, je ne vois pas l'intérêt des puissants et des riches pour inférer dans la vie intime de chacun, et décider quand, comment, avec quel groupe de médecins ou dans quel établissement on doit terminer son existence.

     

    Heureusement, 10 à 20 ou 30% de la population refuse d'obéir et trouve une solution à contourner l'interdit.

     

    J'ai eu sous les yeux la position de mes parents*, leur moyen de la réaliser, mais les difficultés à contourner les interdictions morales que l’État, celle nouvelle Église, que les différents partis, ces nouvelles casernes, et que les religions (plus ou moins d'ailleurs), se croient autorisés à intervenir dans la vie de chacun pour leur dire : « obéissez toujours à la médecine, faites confiance à la pharmacie, confiez votre vie à des « spécialistes », nous sommes les derniers curés et les derniers directeurs de conscience, et en droit de décider quand il sera bon pour vous de mourir, votre conscience, votre corps, vos convictions, nous appartiennent » dit l’État à travers sa police de la santé, et vous devez toujours vous soumettre, obéir et dire comment on me l'a appris à l'armée « oui chef, bien chef, j'exécute chef » même dans les pires circonstances. Donc ce choix m'est vital, ma décision irrémédiable, je suis un citoyen honnête, j'ai essayé d'être un bon voisin, un bon prof, un bon père, et maintenant je décide de fermer ma porte et de partir tout seul pour le dernier et grand voyage. Mais je laisse ce mot pour dire merci à ceux qui me comprennent, me soutiennent et en ce sens, qui se battent pour la liberté.

     

    Donc je leur dis : merci d'avance.

     

    * Mes parents, sans une conviction affirmée, ont trouvé le moyen de finir seuls, en aidant plus ou moins la nature, dans leur maison sans qu'on puisse parler de suicide. Mais à 85 ou 90 ans, ils avaient tenu à rester dans leur maison, seuls et isolés, ne pouvant pas appeler la nuit en cas de crise. Et c'est comme ça, en refusant l'hôpital, la médecine intensive, qu'ils ont fini, l'un et l'autre, dans le silence d'une maison seule, dans l'impossibilité d'appeler le soir un quelconque secours, et qu'on les a retrouvé à 10 ans intervalle, l'un et l'autre, saisis par une crise la nuit, une chute ou autre chose. Et donc, sortir de la solitude d'une vie qui était riche pour eux. J'ai toujours apprécié leur silence sur la question, la générosité d'un tel comportement, et la discrétion des circonstances dans lesquelles le destin s'est effectué.

     

    Comme eux, je refuse d'être broyé par la mâchoire implacable de la médecine et la déchéance, le coût de la longue agonie à l'hôpital. Toutes ces dépenses ne servent à rien, sinon à ruiner les jeunes générations, vider les budgets de l’État au profit de quelques catégories sociales plus ou moins cachées.


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